Ici Même

Ici Même est une maison d’édition de bande dessinée fondée à Nantes en 2013 par Bérengère Orieux. En 2025, Ici Même devient un label Petit à Petit !

Plus d’informations sur : icimeme-editions.com

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  • Abaddon — L’Intégrale

    35,00 

    On le lit d’une traite, partagé entre fascination et curiosité…

    C’est avec lui qu’ont démarré les éditions Ici Même. C’est avec lui que Shadmi a été révélé au public : Abaddon.
    Depuis,  Shadmi a cumulé les romans graphiques formidables et les succès : Love Addict, Bionique, Le Voyageur
    Aussi, il était grand temps de permettre à tous de découvrir ou redécouvrir cette perle noire, ce roman graphique délicieusement anxiogène, enfin édité ici en un volume unique.
    Un jeune homme vient visiter une chambre à louer dans un appartement. L’endroit est immense, classieux, l’affaire est vite conclue avec les autres locataires. Mais voilà que bien vite, le nouvel arrivé découvre qu’il ne peut plus sortir… pas davantage que les autres occupants. La porte par laquelle il est entré semble condamnée, comme le sont les fenêtres, et toute autre issue.
    Ainsi commence Abaddon, roman graphique de Shadmi, New-Yorkais d’origine israélienne. Ainsi commence un cauchemar polymorphe, où l’auteur, dans un graphisme très personnel et fascinant, alterne le quotidien emmuré des cinq protagonistes et les cauchemars du héros, hanté par des images de guerre.
    Immédiatement, le lecteur est pris au piège, happé par l’angoisse, et l’on n’aura de cesse de tenter de trouver une explication à cet enfermement.
    Ce bijou noir n’est pas sans évoquer Le Locataire chimérique de Topor, où drame et comique se côtoient avec talent.

    Dans la presse

    « Le délitement du réel passe par de purs artifices fantastiques (…), mais aussi par un dosage assez singulier de grotesque macabre, d’absurde inquiétant et d’humour noir sarcastique, qui sape les repères. »
    Télérama

    « Dans son album, Koren Shadmi construit un récit totalement anxiogène sur le thème de l’enfermement. »
    L
    ’Express

    « Un pur cauchemar, un vrai chef-d’œuvre. »
    France Inter

    « Un savoureux et mystérieux récit psychologique, parfois cocasse, où la peur panique n’est jamais loin, et qui défait nos repères, creuse l’incertitude et bouscule nos habitudes. »
    BoDoï

    « Dans pareil environnement, le huis-clos devient vite oppressant et la folie des uns et des autres ne tarde pas à se révéler sous le vernis d’une relative normalité. »
    BDGest

  • Acte de Dieu

    19,50 

    Angoulême Fauve Audace 2020 !

    “Giacomo est l’un des auteurs de bande dessinée vivants les plus intelligents et les plus talentueux. Il est aussi l’un des rares que j’envie.” Gipi

    Une voix flotte sur les Apennins, cœur sismique de l’Italie. À  qui appartient-elle ? À  un chevreuil qui a trouvé refuge près du parking d’un supermarché.
    Au même moment, non loin de là, un couple de chasseurs poursuit un autre chevreuil, qui s’avère, peut-être, être une licorne. Et cette même nuit, un séisme va secouer la région et faire s’effondrer plusieurs villages, causant de nombreuses victimes.
    Dans ce récit choral, Giacomo Nanni, par la virtuosité d’une écriture hypnotique et d’un dessin pointilliste aussi précis qu’envoûtant, nous parle de la Terre, des hommes, et de leur impitoyable rapport de force. Fascinant.

    Dans la presse

    « Acte de Dieu est une pépite de narration comme de graphisme. Les images toutes de trames colorées et le rythme contemplatif du récit en font une fable hypnotique dans laquelle se plonger et perdre des heures durant. Ainsi soit-il. »
    Illustrissimo

    « Magique ! »
    Lire

    « Un récit totalement hypnotique. »
    Benzine Magazine

    « Envoûtement garanti.
    BoDoï

    « Acte de Dieu est un livre immense. »
    Matin Dimanche

    « Surprenant bouquin bourré à craquer de beauté et de poésie. »
    dBD

    « Un intense chant polyphonique et coloré aux résonances philosophiques. »
    Zoo

  • Ariston Hotel

    25,00 

    1955, côte adriatique

    C’est l’heure du miracle économique pour l’Italie, et les plages qui bordent l’hôtel Ariston accueillent un tourisme tout neuf. De cet hôtel comme d’un théâtre, Ariston explore la scène et les coulisses. Au travers des vies, aventures et anecdotes des protagonistes – les clients comme le personnel -, l’album égraine trois décennies et raconte, autour du personnage central de Renata, la propriétaire des lieux, une histoire de l’émancipation féminine.

    À mi-chemin entre Grand Budapest Hotel et Nos meilleures années, une fresque belle et attachante.

     

    Dans la presse

    “Dans cet hôtel de la plage se déroule sous nos yeux un magnifique récit choral.
    TTT Télérama

    “Découpage audacieux et maîtrisé, trait charbonneux rappelant Jean-Claude Götting, histoire à tiroirs partagée à part égale entre secrets douloureux et moments de comédie pure, Ariston Hotel mérite toutes ses étoiles.”
    BDGest

  • Bionique

    26,00 

    Après Le Voyageur, Koren Shadmi continue d’explorer le champ de la science-fiction en nous racontant une histoire d’amour futuriste et impossible.
    Victor, adolescent gentil et timide, essaie désespérément d’attirer l’attention de Patricia, sans grand succès. Mais celle-ci est victime d’un grave accident. À son retour à l’université, Patricia est métamorphosée : elle est désormais mi-femme, mi-robot. Mais Victor va rapidement constater que c’est bien plus que l’apparence de sa camarade qui a changé…

  • Capacity

    24,00 

    Ce roman graphique du jeune américain Theo Ellsworth est pour le moins étonnant. Invité en un voyage surréaliste dans les méandres de l’esprit de l’auteur, le lecteur est embarqué dans un dédale de forêts, de villes et de cavernes extraordinaires, dans un univers onirique peuplé de monstres bienveillants qui ne sont pas sans rappeler les Maximonstres de Maurice Sendak.
    Nous proposant d’effectuer ce voyage à la première personne, il propose une vision inédite de l’esprit du créateur, complexe, tortueux, fascinant, d’une richesse infinie. Comme dans un rêve, Ellsworth enchaîne les aventures – nos aventures – avec une chaleur et une sincérité qui séduisent immanquablement. Son sens du détail très poussé nous entraîne dans chaque page, dont chaque relecture propose de nouvelles découvertes.
    Si l’exploration de l’inconscient de l’artiste n’est pas un sujet neuf, on peut sans peine dire que ce roman graphique s’y livre de manière visionnaire et, sans nul doute, est de ceux qui marquent profondément ses lecteurs.

  • Coupes à cœur

    19,00 

    Après le joli succès critique et public des deux volumes d’Abaddon, Koren Shadmi nous offre ici cinq courts récits du même acabit. De quoi ravir tous ceux qui attendaient des nouvelles de cet auteur prometteur. Omniprésence des fantasmes, poids du destin, ambiguïté des sentiments religieux, turpitudes des rapports amoureux… Pas de doute, aucun des thèmes chers à Koren Shadmi ne manque à ce nouvel opus. Cinq contes, cinq histoires qui sont autant de petites tragédies ordinaires. Avec un humour parfois féroce, Shadmi  met en scène des personnages aux amours contrariées, déçues, vouées à l’échec. Ce fil conducteur donne toute son unité à ce recueil, où l’on retrouve avec plaisir l’univers graphique et le découpage propice au suspense qui a su séduire les lecteurs d’Abaddon.

  • Crache trois fois

    34,00 

    « Les copains d’enfance tu ne les choisis pas ; ils te tombent dessus, s’emparent de toi comme une fièvre, et ils restent là même si tu leur bottes les fesses. oui, ils deviennent plus que des parents, plus que des frères, ils deviennent des amis. mais tu ne peux pas les choisir. »
    Guido, Moreno dit « Grisou », Katango et les autres…Une bande d’adolescents qui traînent les rues, fréquentent avec la même nonchalance un même lycée technique. Leurs journées s’égrènent entre bars, billards et virées en voiture ; leurs nuits, ils les passent à fumer au bord du fleuve. Tout près, dans une ferme en ruine, vit une famille de Tsiganes. Parmi eux, Loretta, une fille sauvage en qui les garçons voient tout à tour une sorcière ou une gamine déjà vieille…
    L’amitié, le racisme ordinaire, la saison de l’adolescence et comment elle prend fin. Davide Reviati nous raconte tout cela en même temps qu’il s’empare de l’histoire des Roms, jusque dans ses chapitres les plus funestes.
    Six ans après État de veillel’un des auteurs les plus passionnants de la bande dessinée italienne revient avec un roman graphique intime, intense et poignant, à la puissance graphique peu commune.

    Dans la presse

    « Chronique au long court de la vie en province, évocation ­également de l’histoire tragique du peuple rom, le roman ­graphique de Davide Reviati fait cohabiter magnifiquement violence et fragilité, à l’image de son dessin aux milliers de traits ­faussement chahutés. »
    Le Monde des Livres

  • Dans la chambre du cœur se cache un éléphant

    Promo ! Le prix initial était : 24,00 €.Le prix actuel est : 4,00 €.

    Dans un futur proche, Almo Brasil, écrivain en manque d’inspiration, s’embarque pour la planète Balhore. Là, au milieu des rêves et des hallucinations, il devient si facile de se perdre, autant que dans les bras de la belle Zelda… pour mieux se trouver ?
    Une quête initiatique avec pour toile de fond une ville qui n’est pas sans évoquer le Tanger de Burroughs, des visions hallucinées qui lorgnent du côté de Moebius – Marco Galli nous livre là un opus labyrinthique et nous entraîne dans un voyage captivant, vers les tréfonds de l’âme humaine.

    L’air de rien, le dessinateur italien nous embarque dans une aventure aux développements surprenants et fantasques. (…) le voyage est passionnant, baroque et plein d’un charme aux accents felliniens, très Dolce Vita.
    TTT Télérama
  • Du Charme du parking à étages

    22,00 

    Marino Neri signe là un polar d’une noirceur sans appel, chronique d’une époque où règnent la violence et
    l’argent, et où certains d’entre nous sont condamnés par avance.

    Un jeune immigrant est assassiné dans un bâtiment abandonné. Ses assassins ? Une bande de gentils garçons qui défoulent leur frustration existentielle sur le « bouc émissaire », le coupable absolu et parfaitement désigné : il est noir, il est seul, peut-être aussi qu’il deale ou qu’il vole. Un parasite dont on se débarrasse facilement.

  • Dynamite Diva – Rumeur mécanique

    22,00 

    Un premier meurtre sordide, un chauffeur de taxi détraqué et voilà que les cadavres s’accumulent, laissant la police perplexe et bien loin de la troublante vérité.
    Par chance, la plantureuse Dynamite Diva s’en mêle, qui ne renoncera à aucune course-poursuite ni à aucun sacrifice pour traquer le criminel et dévoiler ses funestes desseins.
    Chagrin, fureur et extase s’entremêlent en une histoire noire, très noire, que vous n’êtes pas prêt d’oublier.

    Dans la presse

    (…) une bande dessinée définitivement trash, allant puiser dans le meilleur de l’underground américain et européen tout ce qu’il y a de plus pulp et pulpeux. C’est le premier album du jeune Canadien Jasper Jubenvill, et sa maîtrise du genre impressionne vraiment.
    Canal BD

  • Fun

    Promo ! Le prix initial était : 22,00 €.Le prix actuel est : 4,00 €.

    Le 21 décembre 1913, le quotidien New York World du célèbre éditeur Pulitzer publia dans son supplément dominical, « Fun», les premier mots croisés de l’histoire. Qui eut cru que la naissance et l’histoire de ce passe-temps mondialement prisé, à la fois populaire et dont sont friands les plus grands intellectuels, fut si riche en rebondissements ? Du New York du début du XIXe siècle au Milan d’aujourd’hui, Paolo Bacilieri nous en révèle les aventures et les petits secrets.

    Mais c’est d’une manière bien personnelle que Bacilieri entend célébrer le centenaire de ce jeu universel. Partant à la recherche du secret des mots croisés, il nous propose une véritable intrigue policière, où l’on croisera un ex-agent secret de la CIA, fan de mots croisés, une cruciverbiste experte en contre-espionnage, ou encore l’écrivain – passionné de mots croisés – Georges Perec.
    Le mystère s’épaissit comme se compliquent les schémas de cases blanches et noires, toujours plus complexes, obligeant chacun à se creuser la cervelle… Zeno Porno, le personnage fétiche et alter ego de Bacilieri, en arrivera à s’interroger : les mots croisés sont-ils bien d’inoffensifs passe-temps, ou une forme plus subtile et secrète de résistance au règne toujours plus étendu de l’imbécillité ?

  • Goiter – Nouvelle édition

    28,00 

    Avec ce livre, vous allez pénétrer dans un univers magique dont vous ignorez tout. Vous y croiserez un catcheur en fin de course aux mœurs contestables, un employé d’Amazon rêvant de révolution, une jeune femme prise au piège d’une histoire d’amour interdimensionnelle, un ventriloque accusé d’un meurtre qu’il n’a pas commis, ou encore des femmes pompiers au caractère bien trempé. Bienvenue.

  • Icône

    26,00 

    Après le très remarqué Vita Obscura, Simon Schwartz nous offre une double biographie passionnante, intelligente et magistralement mise en image : l’histoire vraie d’Anastasia, fille du dernier tsar de Russie, et de Gleb Botkin, fils du médecin de la cour. Ou celle de deux enfants emportés par la tourmente de l’Histoire.

  • L’Enfance de l’art

    Promo ! Le prix initial était : 12,50 €.Le prix actuel est : 2,00 €.

    On connaissait les fameux Moments clés de l’Histoire de la bande dessinée de François Ayroles, qu’on relit toujours avec le même plaisir.
    Guillaume Long – facétieux auteur à succès de À boire et à manger aux Editions Gallimard, ou encore de Tétine Man chez Didier Jeunesse – s’est attelé ici à un exercice similaire, imaginant un “moment clé” de l’enfance d’un artiste célèbre. De Léonard de Vinci à Jeff Koons, en passant par Picasso ou Mondrian, c’est une cinquantaine de clins d’œil facétieux que l’auteur fait ici à ses illustres prédécesseurs.

  • L’Heure des mirages

    26,00 

    “Moi aussi j’ai toujours rêvé d’exercer un métier spécial et voilà que je suis dessinateur…”

    Manuele Fior est un dessinateur virtuose et multiple. Avec l’heure des mirages, il nous livre un carnet de bord, intime et précieux, où il a rassemblé un florilège des plus belles images qu’il a créées.
    Au fil des pages, il parsème la balade graphique de commentaires, d’anecdotes, de précisions sur les techniques utilisées, de souvenirs. Ainsi, de sa plume aussi talentueuse que son pinceau, il nous livre avec délicatesse et légèreté un peu de l’envers de sa création. Un enchantement, raffiné et brillant.

  • La Friche

    32,00 

    Un été des années soixante-dix quelque part dans une bourgade du Canada. Tandis que les adultes sont accaparés par leurs mariages chancelants et les querelles de voisinage, les enfants courent la friche, à la recherche de chenilles, de souris, de têtards, nourrissant une obsession fascinée pour les allumettes, toujours plus imaginatifs dans leurs façons de frôler les catastrophes.

    Peintre délicat de la saison de l’enfance, Dave Lapp évoque les jours qui s’égrènent et l’innocence qui s’effiloche avec une simplicité, une poésie et une tendresse lumineuses.
    Et son tableau nous conquiert, sans effort.

    “Probablement la meilleure histoire sur l’enfance que j’aie jamais lue (ou entendue). Un chef-d’oeuvre.”
    — Chester Brown

    Dans la presse

    Dans ce délicieux (…) récit autobiographique, l’auteur canadien Dave Lapp raconte ses souvenirs quelque quarante ans après, sans juger, sans enjoliver, sans vraiment faire preuve de nostalgie.
    (…) Même si le ton est doux-amer, le regard de Dave Lapp sur cette époque reste lumineux, encore émerveillé par les possibilités qui s’offraient à lui en ce bel été.
    Livres Hebdo

  • La Voix solitaire

    20,00 

    Yuri, à cause d’un mystérieux traumatisme enfantin, souffre d’un dérangement qui l’a rendu intolérant à la voix humaine. Irene, quant à lui, souffre d’un sérieux trouble de genre et d’identité. Tous les deux vivent à la marge, en quête solitaire d’une stabilité que leurs corps ont perdue, ou pas encore trouvée. Ces deux-là finiront par se rencontrer, aux confluents d’un passé qui les a involontairement liés à vie.
    Sur fond de paysages en ruine, au coeur de la province italienne, La Voix solitaire est l’histoire touchante de deux garçons « à part ».
    Un roman graphique plein d’humanité, poétique et inquiétant, cruel et dense, qui marche sur les traces des fantômes de l’enfance. Et révèle Tiziano Angri, un nouveau et grand talent de la bande dessinée italienne.

  • Le Baiser

    Promo ! Le prix initial était : 25,00 €.Le prix actuel est : 4,00 €.

    Entre l’Asie et l’Europe, quatre personnages font entendre leur voix pour raconter la façon dont un simple baiser a modifié le cours d’une vie. Et comment une jeune femme prend en main son existence.

    Quatre personnages, quatre chapitres, quatre déclinaisons d’une histoire simple et forte.
    On trouve dans le dessin d’Andrea Bruno une douceur qui contraste avec la violence de certaines situations. Et dans le récit réaliste de Frédéric Debomy, un optimisme sur la faculté à basculer des destins même les plus tracés.

     

    Dans la presse

    Cette BD, légère en apparence, place le lecteur en spectateur de vie pour aborder un sujet complexe : le tourisme sexuel en Asie. Un album qui questionne sans leçon de morale aucune la sexualité dans le monde.
    Europe 1

    “Tout en subtilité, ‘Le Baiser’ se laisse admirer tout en alimentant notre réflexion intellectuelle.”
    La Case de l’Oncle Will

    “Ne vous laissez pas tromper par la composition magnifique des pages d’Andrea Bruno, elle est au service d’une histoire d’émancipation glaciale à souhait.”
    Canal BD

    “Embrasser un homme européen peut-il changer la vie d’une femme asiatique ? Frédéric Debomy et Andrea Bruno répondent à cette question dans Le Baiser, publié aux éditions Ici Même, avec de fréquents silences. Et beaucoup de talent.”
    Unidivers

    https://www.unidivers.fr/bd-le-baiser-frederic-debomy…/

  • Le Voyageur lointain

    24,00 

    Avec une grande élégance narrative, Otto Gabos nous fait subtilement glisser de la comédie intime et poétique au polar, avec un récit plein de délicatesse et de mystère…

    Peu après le 11 septembre 2001, Roméo et Diana quittent l’Italie pour la côte Est des États-Unis, où elle est née et où ils aimeraient voir naître leur fils. Ils décident de croire en l’avenir et fondent de grands espoirs sur ce nouveau départ. Toutefois pour Roméo, qui a grandi avec une mythologie de l’Amérique basée sur le cinéma, la musique, la bande dessinée, la rencontre avec la communauté italo-américaine ne sera pas des plus simples. Entre conflits générationnels et culturels, entre l’angoisse de la paternité imminente et les choix professionnels à faire, Roméo parcourt à pied White Plains, la ville de province où il vit, et New York, berceau de son imaginaire. Mais un jour, il découvre les plans d’un vieux projet de Grande Roue qui aurait du être installée sur Coney Island. Peu avant le début des travaux, l’architecte était décédé dans un tragique accident, et le projet abandonné. Après toutes ces années, il s’avère rapidement que la thèse de l’accident était fausse…

     

    Dans la presse

    “Romeo a un projet en arrivant aux États-Unis : écrire… Écrire, oui, mais quoi ? Le doute est permanent et l’impuissance s’installe. Reste à explorer le quartier à rencontrer les gens, à observer sans cesse pour qu’émerge une bonne idée, celle d’un récit autour de l’exil intérieur (« Inner Exile »), un exil et une terrible nostalgie”
    BD Zoom

    “Considéré à ce jour comme “le chef-d’œuvre” d’Otto Gabos, Le Voyageur lointain méritait bien une traduction et une parution française.”
    Benzine

  • Les Intrépides

    22,00 

    Sur fond de football et de cinéma, une belle histoire de résistance dans le Brésil des années 1950
    São Paulo, Brésil, 1950. Les préparatifs de la Coupe du monde de football battent leur plein, la première depuis la guerre. Vera et Luiz vivent des jours paisibles avec leur père Jorge, cheminot. Le jeune Luiz partage son temps entre l’école, le foot, le cinéma dont il raffole, et son ami Mario, un jeune boulanger émigré d’Italie au Brésil, comme bien d’autres depuis la fin de la guerre et la libération de l’Italie fasciste.
    Mais un terrible accident vient bouleverser leurs vies : Jorge, le père, est renversé et tué par le déraillement d’un train. L’enquête révèle qu’un défaut d’entretien des rails est à l’origine de l’accident. En signe de protestation, les cheminots décident de cesser le travail, mais la société qui les emploie envoie des briseurs de grève réprimer violemment ce mouvement de contestation. De leur côté, les enfants de Jorge subissent intimidation et menaces…
    Une histoire simple et belle de résistance et de lutte, du pauvre contre le riche, du faible contre le puissant.
    Andrea Campanella a réalisé là un scénario généreux et sensible, que la ligne claire d’Anthony Mazza sert à merveille. Un bel hommage aux films néoréalistes de l’époque…

     

    Dans la presse

    « Les Intrépides (…) fait partie des belles découvertes de cette année 2020… »
    L’Ambidextre

    « Une chronique sociale pleine d’humanité et graphiquement très réussie qui se déroule dans le Brésil de 1950. »
    avoir-alire.com

  • Les Jours de la Merlette

    22,00 

    Le désormais bien connu Manuele Fior nous revient ici avec un recueil de dix histoires courtes. Des tranchées de la Première Guerre mondiale à une Italie futuriste, en passant par Berlin ou Paris, dix historiettes aux portraits finement ciselés, qui confirment l’immense talent graphique et narratif de l’auteur de Cinq mille kilomètres par seconde (Editions Atrabile).

  • Love Addict

    25,00 

    Au sortir d’une rupture douloureuse, K. est poussé par son meilleur ami à rejoindre «Lovebug», un site de rencontres en vogue. Il s’embarque donc à la recherche d’un nouvel amour. Mais très vite, sa quête se transforme en frénésie sexuelle, faite de frissons bon marché et de stimulation incessante.
    Perdu au milieu d’un océan de chair numérique, K. se découvre vite totalement dépendant de ces rencontres éclairs. Comme un enfant dans un magasin de friandises, il ne sait plus s’arrêter, tandis que Lovebug lui offre une sélection sans fin de compagnes éventuelles.
    Peu à peu, K. va perdre son intégrité, ses amis, et même ses chances de rencontrer un amour véritable, tant l’addiction est devenue puissante… à l’ère des rencontres numériques, se connecter et rencontrer une personne qui nous est totalement étrangère est devenu aussi facile que de commander un repas chinois. Les règles du jeu de l’amour ont changé – désormais déterminées par des photos de profil, des statistiques, des logiciels. Où s’en est donc allé le romantisme dans tout ça ? Comment la toile Internet a-t-elle affecté notre façon d’aimer ?
    Entre espoirs amoureux et intoxication numérique, Koren Shadmi nous donne ici, au fil des rencontres, quelques réponses, pleines d’humour, de sincérité et parfois, aussi, de cynisme.

  • More Fun

    24,00 

    Suite et fin de Fun, saga brillante et drôle de l’un des passe-temps les plus populaires au monde : les mots croisés.

  • Nippon Monogatari – La Mission de Kintaro

    29,00 

    Après le fabuleux Nippon Folklore, Elisa Menini nous revient avec un nouveau recueil tout aussi époustouflant.

    Un jeu antique  de la période Edo (1603-1868) in-venté, dit-on, par des samouraïs comme épreuve de courage, veut que, dans une pièce, en pleine nuit, on allume autant de bougies que de participants au jeu. Chacun, à tour de rôle, raconte une histoire de fantômes, et à la fin du récit, il éteint une bougie. La pièce se fait plus sombre au fur et à mesure que le jeu progresse. À la fin, lorsque s’éteint la dernière bougie, apparaît un yokai, esprit puissant, parfois bienveillant, parfois moins !
    Orques, diables, arbres parlants, araignées, dragons et autres chats magiques peuplent ces histoires qui proviennent tout droit de la tradition et des légendes japonaises.
    Couleurs, ambiances, références et inspirations, tout ici évoque l’art graphique du Japon des années 1800, revisité avec un style synthétique, contemporain et très personnel, qui lorgne du côté du manga.

  • Nippon Yokai — Le Jeu des dix histoires

    29,00 

    Après le fabuleux Nippon Folklore, Elisa Menini nous revient avec un nouveau recueil tout aussi époustouflant.

    Un jeu antique  de la période Edo (1603-1868) in-venté, dit-on, par des samouraïs comme épreuve de courage, veut que, dans une pièce, en pleine nuit, on allume autant de bougies que de participants au jeu. Chacun, à tour de rôle, raconte une histoire de fantômes, et à la fin du récit, il éteint une bougie. La pièce se fait plus sombre au fur et à mesure que le jeu progresse. À la fin, lorsque s’éteint la dernière bougie, apparaît un yokai, esprit puissant, parfois bienveillant, parfois moins !
    Orques, diables, arbres parlants, araignées, dragons et autres chats magiques peuplent ces histoires qui proviennent tout droit de la tradition et des légendes japonaises.
    Couleurs, ambiances, références et inspirations, tout ici évoque l’art graphique du Japon des années 1800, revisité avec un style synthétique, contemporain et très personnel, qui lorgne du côté du manga.

  • Pack Ici Même à prix mini

    Promo ! Le prix initial était : 83,50 €.Le prix actuel est : 16,70 €.

    Découvrez 4 albums du label Ici Même à prix réduit !

    Dans la chambre du coeur se cache un éléphant – Fun – Le Baiser – L’Enfance de l’art

  • Play With Fire

    28,00 

    Je n’ai jamais eu un physique masculin. J’ai toujours été petite, ronde, timide et nulle en sport. Mais j’ai passé ma vie à chercher des « mecs » qui auraient pu être sans problème « moi au masculin », en balançant d’hypothétiques « Si j’étais un homme, je serais comme lui ! » (style Jason Schwartzman). Et là, découvrir que c’est possible pour certain.e.s, ça me… ça me fait quoi ? Je prends feu.

    Play with Fire est une autofiction érotique au sens large, le journal dessiné d’une vie qui joue avec le feu, avec les conventions, au-delà des genres : Nicoz raconte les premiers doutes, le coming out, le chemin du genre, de l’amour et du sexe avec d’autres filles dans un voyage initiatique plein de conscience, dans un récit limpide et pur, libre et drôle.

    Dans la presse

    « … celle qui est en train d’imaginer celui qu’il sera nous convainc, selon une grâce oublieuse des normes, que « de toute façon, la vie t’emmène toujours à l’endroit exact et au moment précis où tu dois te trouver… »    
    Revue 303, Juillet 2022

    «Magnifique Play With Fire, si beau, si libre, si profond.»                    
    Pénélope Bagieu, Juillet 2022

    Coup de cœur FNAC :
    « Un récit intime, honnête, lumineux et drôle sur l’identité sexuelle. Nicoz Balboa s’affranchit des cases (oui, j’ai osé!) aussi bien dans son dessin que dans son cheminement. »
    (Bénédicte, FNAC Angers)

    « Dans un dessin inventif, multipliant les petites notes colorées, les réflexions, les anecdotes, Nicoz tient une sorte de journal d’une grande intelligence, loin de l’image pesante que véhiculent les opinions et les discours mal informés sur la question du genre. »
    Actua BD

     

  • Sauf imprévu

    26,00 

    Trois histoires, de solitude et d’urgence, une urgence qui saisit les protagonistes et que personne autour d’eux ne perçoit ou ne comprend.

    Trois histoires qui forment un beau récit choral et une délicate analyse des rapports humains.

    Katherine Mansfield passe quelques mois de l’année 1915 seule à Menton, à écrire des récits et des lettres, et à parler presque exclusivement à son frère. Celui-ci vient de mourir et lui apparaît parfois dans les jardins abandonnés ou dans la cuisine de la petite maison qu’elle occupe.
    Liam est astrophysicien. Après un brillant doctorat, il choisit les travaux les plus éclectiques et apparemment subalternes plutôt que de rester à l’université où il se sent humilié et ne trouve pas sa place. Lorsqu’enfin se présente le poste qui lui donnerait l’occasion de reprendre son travail de chercheur, il va devoir choisir entre son rêve et la vie avec celle qu’il aime.
    Marzia a 14 ans. Déjà trop vieille pour sortir indemne du procès où elle est accusée de fraude informatique. Marzia est un petit génie du Web, elle passe tout son temps sur son smartphone où elle évolue sous moult identités différentes, toutes évidemment fausses ; elle s’est construit un discours complexe, très évolué pour son jeune âge, qu’elle déroule sans jamais regarder quiconque dans les yeux.
    Personne n’écoute ni ne croit Marzia. Et Marzia ne s’en soucie guère.

  • Symphonie à Bombay

    22,00 

    En Inde, et en rêve, le jeune Helios est convoqué par les Mères sacrées du temple d’Orissa pour se voir confier une mission : aller à Bombay, y retrouver la trace d’une jeune fille disparue. La route d’Helios croisera celle du riche sultan Othmar Babula, qui le mènera à la rencontre de la belle et mystérieuse Aparna Tagore, elle-même éperdument amoureuse du fantôme du célèbre danseur Nijinsky… C’est une histoire d’amour et de captivité.
    Un récit de destins croisés à Bombay, la ville des souvenirs infinis et des passions qui ne veulent pas mourir. Ce livre fut inspiré à son auteur par l’histoire vraie d’Elissa Rhais, une danseuse enlevée par son prétendant et enfermée dans un harem pendant 17 années. Rendu fou de rage par son amour non partagé, le sultan tout-puissant se vengera sur la belle en la gavant telle une bête, déformant à dessein le corps désiré et inaccessible.
    Igort se livre ici au jeu de boîtes chinoises qui lui est cher, offrant une déambulation entre Inde, Turquie et Russie. De longs voyages, colorés et mystérieux, en quête de quoi? D’une identité qui se dérobe. D’un amour qui confine à l’enfermement.

    Dans la presse

    « Si l’histoire interpelle autant qu’elle étonne, le splendide visuel de Symphonie à Bombay fascine aussi par sa délicatesse poignante, son ambition formelle et l’exigence portée par un trait virtuose. »
    BoDoï


    « Les éditions Ici Même ont bien fait de rééditer ce titre méconnu, complété d’un dossier très instructif raconté par Igort lui-même sur les origines de ce travail de jeunesse. « 
    BDZoom

  • Tedward

    26,00 

    Vous cherchez un nouveau héros auquel vous attacher, voire vous identifier ? Vous l’avez trouvé.

    Tedward est un jeune homme « à l’ancienne », qui vit chez maman et lui prête main-forte à la ferme où elle cultive la rhubarbe. Pétri de principes passés de mode, Tedward cherche sa place, des amis et l’amour, dans un monde dont il ne comprend ni les codes ni les valeurs.

    Victime de son charme, pourtant subtil, de sa morale et d’un univers où règnent concupiscence et escroquerie, Tedward, guidé par son cœur, se voit contraint de passer le jet d’eau dans des parties fines, de dénoncer sa petite amie qui fraude la redevance télé, et même de renoncer à un talent indéniable pour les dioramas en papier mâché. Qu’à cela ne tienne, il en faudra davantage pour abattre notre sémillant personnage…

  • Tout est vrai

    26,00 

    À Paris, une corneille est témoin d’un attentat terroriste.
    Se remémorant l’anecdote selon laquelle Rod Taylor, l’acteur principal des Oiseaux d’Hitchcock, aurait durant tout le tournage été harcelé par l’une des corneilles utilisées pour le film, Giacomo Nanni part du postulat selon lequel l’animal est capable d’identifier et de se souvenir des visages humains. De là, il imagine l’une d’elles en témoin des préparatifs d’attentat de la filière jihadiste dite « des Buttes-Chaumont », suspecte des attentats survenus en France en janvier 2015. Il reprend pour ce faire le procédé si original et poétique déployé dans Acte de Dieu de l’enchaînement et du croisement des regards et points de vue. La vision d’une corneille a la même valeur que celle d’une petite fille, le Parc des Buttes-Chaumont comme le piège à corneilles deviennent des protagonistes à part entière. Selon Giacomo Nanni, le but de cette histoire n’est « pas seulement de raconter la violence d’un attentat terroriste, mais aussi d’évoquer la brutalité des faits par rapport à l’invention littéraire et artistique ».
    Comme d’habitude chez Nanni, cette évocation est d’une subtilité et d’une poésie rares.

     

     

    Dans la presse

    « Ma bande dessinée est un trompe-l’œil. »
    Giacomo Nanni invité de l’émission Par les temps qui courent sur France Culture
    https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/par-les-temps-qui-courent/giacomo-nanni-ma-bande-dessinee-est-un-trompe-l-oeil-5631420

    « Littéraire, graphique et stimulant. »
    Télérama

    « L’expérience graphique et narrative reste fascinante. »
    BDGest

    « Avec ses trames de couleurs, le dessinateur italien Giacomo Nanni nous met à la place d’une corneille, observatrice froide de l’humanité.  »
    Les Inrocks

    « Un ouvrage à lire pour (tenter de) voir les choses qui nous révoltent sous une perspective différente, pour quitter un moment nos habitudes de pensée. « 
    Sens critique

     

     

  • Transformer

    25,00 

    « J’imaginais qu’avec la première dose de testostérone, je me transformerais en The Rock à la même vitesse que les Transformers ou les Power Rangers. J’imaginais que la ‘transition de genre’, c’était devenir son exact opposé. »

    Une histoire d’amour qui nous raconte quelle odyssée joyeuse peut être l’expérience trans,  et la merveilleuse aventure de devenir soi-même !

  • Un jour, le soir

    24,00 

    C’est l’histoire d’un homme, jeune, qui se nourrit d’un croissant par jour. Simplement parce qu’il n’arrive pas à joindre les deux bouts.
    Demain, il sait qu’il dépassera son découvert autorisé de 400 euros à la banque. Il cherche une solution à ce problème.
    Ce faisant, il déambule dans la ville, occasion de réflexions, de rêveries, de souvenirs, mais aussi de rencontres.
    L’histoire est partagée en trois jours : aujourd’hui, hier, avant-hier.

     

    Dans la presse

    « Outre l’empathie que suscite le propos, l’objet dessiné de Giacomo Nanni nous régale de fantaisie et de poésie. »
    Le Monde

    « Un jour, le soir prolonge l’expérience graphique et narrative singulière de Giacomo Nanni, pour le plus grand bonheur de nos yeux. Une œuvre touchante, qui mérite d’être (re)lue. »
    Avoir-alire
    https://www.avoir-alire.com/un-jour-le-soir-giacomo-nanni-la-chronique-bd

    « Le récit hypnotique de Giacomo Nanni raconte la dérive d’un jeune homme dans sa mémoire et dans les rues d’un Paris nocturne et lumineux. »
    Mu in the City
    https://www.mu-inthecity.com/un-jour-le-soir-giacomo-nanni-ici-meme

    « Magnifique confirmation du talent singulier de Giacomo Nanni, artiste italien remarqué à Angoulême en 2020, ‘Un jour, le soir’ est une expérience esthétique et narrative remarquable. »
    Benzine

    « Un jour, le soir » de Giacomo Nanni : un jeune homme marche dans Paris

    “Auteur salué par la critique et le public, Nanni nous régale cet été avec un album poétique d’une grande beauté.”
    ActuaBD
    https://www.actuabd.com/Un-jour-le-soir-la-vie-des-interstices-par-Giacomo-Nanni

    “La poésie rare que délivre ce jeune auteur italien casse les barrières de la narration graphique. Beau et fascinant.”
    Planète BD
    https://www.planetebd.com/bd/ici-meme-editions/un-jour-le-soir/-/51892.html

    “Objet dessiné d’un autre type, Un jour, le soir s’avère être une expérience humaine impalpable et étonnement palpitante. À découvrir et à ressentir.”
    BD Gest’
    https://www.bdgest.com/chronique-11753-BD-Un-jour-le-soir-Un-jour-le-soir.html

     

     

  • Vénus privée

    22,00 

    Sélection Polar SNCF Angoulême 2025

    Périphérie de Milan, années soixante.
    Alberta, une jeune vendeuse, est retrouvée morte. Au même moment, à sa sortie de prison, Duca Lamberti est contraint d’accepter le premier travail qu’on lui propose : condamné pour avoir euthanasié une femme en phase terminale, cet ancien médecin est appelé par un riche industriel pour désintoxiquer son fils alcoolique.
    Les deux événements ne tardent pas à s’entremêler lorsque Lamberti découvre
    que le jeune homme s’est mis à boire parce qu’il se croit coupable de la mort de la jeune fille…
    Les enquêtes de Duca Lamberti ont fait entrer Giorgio Scerbanenco au panthéon du roman noir. Vénus privée est la première histoire des quatre que comprend la série, adaptée avec brio par Paolo Bacilieri.